Je ne vais pas vous le cacher, Project CARS est un jeu que j’attendais depuis très longtemps. Ayant été refroidi par certains jeux de course récents comme The Crew ou Driveclub, j’attendais comme beaucoup ce jeu développé par Slightly Mad Studios et édité par Bandai Namco. Nous avons reçu une version test de la part de ces derniers mais nous désirons tester les serveurs multijoueur ainsi que certaines fonctionnalités en ligne qui ne sont pas encore disponibles au moment de l’écriture de cet article. Nous avons donc décidé de vous livrer des premières impressions après quelques heures de jeu avant le test final qui devrait arriver très vite.

De la vraie simulation de course

Commençons par l’essentiel : la conduite et l’essence du jeu. Lorsque l’on parle d’un jeu de course, c’est la première question que l’on se pose : arcade ou situation ? Autant la réponse peut être nuancée dans certains cas, ce n’est pas le cas actuellement. C’est un vrai jeu de simulation de course. Les options, aides que l’on peut désactiver/activer à souhait ne fait qu’ajuster la difficulté de conduite. En revanche, ile changera pas l’esprit de la conduite qui restera une simulation. Et si vous désirez vous rendre la tâche difficile, vous pouvez le faire en retirant toutes les aides que je détaillerai dans le test. En revanche, la difficulté est bien dosée et chacun peut trouver sa configuration la plus approprié qui peut d’ailleurs être amenée à évoluer au cours du temps. Bon point aussi à la météo dynamique et aux différentes voitures qui offrent des expériences de conduite différentes à chaque fois.

Un mode carrière simple et efficace

J’ai déjà pu parcourir le mode carrière qui semble bien complet en proposant de démarrer où l’on veut, en tant qu’amateur de karting ou bien en tant que superstar de Formule 1. A vous de choisir le parcours qui vous sied. Pour ma part, j’ai bien aimé commencer sur un modeste kart et découvrir les autres modes de conduite au fur et à mesure. De plus, le scénario est aidé par un système de mails et de twitter fantaisiste certes simples et minimalistes mais que je préfère largement aux campagnes solos « scénarisées » de NBA 2K ou WWE 2K.

Contenu : bilan mitigé

Pour l’instant, il s’agit du gros point faible du jeu : le faible nombre de voitures disponibles. En effet, seules 65 voitures sont disponibles dans le jeu. Même si d’autres seront ajoutées au fur et à mesure, on est très loin des 800 voitures de Gran Turismo 5. Personnellement, cela ne me dérange pas trop mais je sais que certains râlent, surtout que le nombre de licences est assez faible et peut gâcher l’immersion. Par contre, je suis très satisfait du nombre de circuits disponibles.

Une technique qui tient la route

Nous testons le jeu sur PlayStation 4 et pour l’instant, je n’ai pas grand chose à reprocher au jeu. Il est très fluide et bien détaillé. Les effets de météo et de lumière sont intéressants. Il faut que je teste encore les effets de collisions avec les décors et les autres voitures. En tout cas, pour tous ceux qui s’inquiétaient d’une version PS4 « médiocre » techniquement, je peux déjà vous dire que ce n’est pas le cas.

Premier bilan : du très bon

Vous l’aurez compris, mes premières impressions sont très bonnes. Je m’éclate beaucoup et cela fait longtemps que ça n’a pas été le cas dans un jeu de simulation de course. Et c’est l’essentiel. Mon verdict final paraitra bientôt sur le site.

Replay de notre live découverte